Hashim hounkpatin

Cinq raisons de ne plus jamais boire de l’eau glacée

 »Docteur, y a t-il des dangers à boire de l’eau glacée ? »

L’un des conseils que je donne invariablement à mes patients est de porter sur eux de petites gourdes et de s’assurer de boire 2,5 litres d’eau tout au long de la journée. C’est bon pour débarrasser le corps de ses toxines, mais aussi traiter la plupart des maux de tête, qui, sous les tropiques, ne sont en réalité que le résultat d’une déshydratation (ah le soleil !  ). Bien s’hydrater permet aussi de renouveler notre énergie et de faire fonctionner harmonieusement tout la machine (je veux dire par là tout le corps).

Ces dernières semaines, la question de boire ou non de l’eau glacée m’a été posée très souvent, de façon insistante. Est-ce que l’eau glacée pose effectivement un problème? Dans ce billet, je vous donne cinq raisons de ne plus jamais en consommer.

1. L’eau glacée ralentit la digestion

La digestion de la plupart des nutriments se fait le long de la paroi des intestins. En même temps que l’intestin absorbe les nutriments essentiels pour le bon fonctionnement de notre corps, il effectue des mouvements qui permettent au reste du repas de continuer à descendre afin d’être absorbé plus bas ou d’être évacué dans les WC. Nous avons déjà dit que l’eau glacée bue  avant, pendant ou après les repas solidifie les graisses. Au même moment, elle entraîne une contraction des intestins les empêchant d’assumer totalement leur rôle absorbant et mouvant. La conséquence logique est un ralentissement de la digestion, donc une constipation ! D’un autre côté, boire de l’eau à température ambiante avant le repas facilite la digestion. Il ne faut donc pas hésiter à boire de l’eau à température ambiante.

Lire aussi: Boire de l'eau glacée fait-il perdre du poids?

2. L’eau glacée ralentit l’hydratation du corps

Lorsque nous buvons de l’eau glacée, la première réaction de notre corps ne sera pas de profiter de sa propriété hydratante. Il devra la réchauffer, l’amener à la température du corps avant de pouvoir l’utiliser. Ce travail nécessitera de l’énergie… et de l’eau. Au lieu de travailler à digérer les aliments et à absorber les nutriments pour créer de l’énergie, votre corps dépense de l’énergie pour réguler votre température. Cela peut conduire à la perte d’eau.

Lire aussi: quand boire de l'eau?

3. L’eau glacée cause des maux de gorge

Si vous avez connu l’hiver, vous savez sans doute que le froid entraîne un écoulement des narines. L’explication de ce phénomène est simple : le corps produit ce liquide pour réchauffer et humidifier l’air (ou le liquide) froid. La même réaction est observée au niveau de la gorge lorsque nous buvons de l’eau très froide. Le problème ici c’est que vous n’en avez pas besoin, ce n’est pas nécessaire ! Le résultat c’est que mucus produit dans la gorge s’y accumule et irrite donc la gorge.

4. L’eau glacée affaiblit vos défenses

L’excès de mucus que le corps produit en réaction au froid peut conduire à l’affaiblissement du système immunitaire et provoquer des maladies comme la grippe.

5. L’eau glacée prive des bénéfices des médicaments

La plupart des médicaments en contact de l’eau donnent une solution liquide. Les mêmes raisons qui font que l’eau glacée ralentit la digestion expliquent pourquoi les médicaments bus avec l’eau glacée ne seront pas absorbés à temps. Vous n’obtiendrez alors pas le résultat attendu.

Que faut-il retenir au final ?
L’eau glacée n’est pas utile pour l’organisme, elle n’apporte rien, au contraire, elle complique ou ralenti certains processus naturels, sa consommation n’est donc pas sans conséquences. Nous avons donné ici des raisons pour lesquelles vous ne devriez plus boire de l’eau glacée, dans le prochain billet, nous dirons dirons les avantages de boire de l’eau à une température ambiante.

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Addiction aux réseaux sociaux : cultivez l’ignorance sélective !

Qui d’entre vous – comme moi à une certaine époque – n’a jamais eu l’impression de rater l’événement du siècle lorsqu’il n’est pas connectés à Whatsapp, à Facebook, ou à Twitter ? C’est ce qui fait que nous nous rendions littéralement « malades » lorsque nous oublions notre téléphone à la maison, nous sommes alors prêts à avaler des kilomètres monstrueux, uniquement pour aller chercher un portable oublié. Et s’il y avait une urgence ? Et si mes parents avaient besoin de me joindre expressément ?Et si une opportunité venait pendant que je n’étais pas à coté de mon téléphone ? Et si…

Lire aussi: Le selfie ou la distraction qui dégénère en maladie mentale

 

L’information, c’est le pouvoir ! Et au nom de ce pouvoir, nous nous abreuvons au quotidien d’une masse astronomique de données. C’est ce que d’aucuns appellent « infoboulimie » et que moi j’appellerais « infogavage » ou mieux « infoconstipation » ! L’information qui prend toute notre attention et nous distrait. l’information qui nous prive du temps de l’ennui (qui se trouve être aussi le temps de la créativité). Un homme qui lit tout machinalement et utilise très peu son propre cerveau tombe dans les habitudes paresseuses de pensée, avertissait Einstein ! Et les urgences, en réalité il n’y en a presque jamais. C’est une suggestion trompeuse de votre cerveau pour répéter paresseusement quelque chose que vous avez maintenant l’habitude de faire. Le cerveau aime les habitudes, donc il en redemande… mais si on ne réfléchit pas au non sens de ce flux incessant d’information pour dire « stop », alors on devient addict !

La vérité est que cette quête obsessionnelle de l’information, cette infoboulimie, est l’une des manifestations de l’addiction aux réseaux sociaux ou à internet. En vérité, vous n’avez nullement besoin de connaître la majorité des informations qui passent sous vos yeux.  Vous vous sentirez probablement même mieux sans.

Lire aussi: Génération tête baissée, cou brisé

 

La thérapie que je nous propose s’appelle l’ignorance sélective, son nom est assez évocateur ! Il s’agit d’un régime pauvre en information, il s’agit simplement d’ignorer le non-important. Il s’agit de décider délibérément d’accepter de ne pas savoir certaines choses (probablement inutiles d’ailleurs). Le but est de diminuer l’exposition au flux d’informations. Pour cela il suffit de  fermer volontairement certains canaux d’information, de se désabonner de certains réseaux sociaux par exemple, de sortir de certains groupes whatsapp, de bloquer certains contacts qui vous sollicitent trop ou encore de se désabonner de certaines newsletters. Pas d’inquiétude : vous en tirerez certainement le plus grand avantage en termes de temps libéré, de concentration, de productivité et de joie de vivre (parce que l’addiction rend rapidement dépressif). Il s’agit donc de laisser tomber des choses inutiles pour gagner du temps libre, de la joie de vivre, de la concentration… bref que des choses positives, utiles à votre quotidien. En plus, vous aurez des sujets de conversations avec votre entourage du genre  « Quoi de neuf ? ».

L’ignorance sélective, c’est aussi décider du nombre de fois où vous allez checkez vos mails, du nombre de fois où, chaque jour, vous vous connecterez et du temps que vous déciderez de consacrer à internet. L’ignorance sélective, c’est désactiver les notifications des réseaux sociaux qui apparaissent en haut de votre écran quand vous lisez un document et qui vous perturbent.
Prendre ces décisions vous aidera, car, lorsque des limites sont définies, il est plus facile d’agir. Vous mesurerez vite vos progrès.

C’est un leurre de croire que qui a l’information a le pouvoir. Qui a l’information n’a pas le pouvoir. Parce que tout le monde a l’information aujourd’hui.
Qui a les bonnes informations et le temps de les analyser a le pouvoir. Et qui a trop d’information  ne retient rien et ne sait pas quoi en penser.  Qui a trop d’information est constipé.
Retenez ceci : trop d’information occupe tout votre temps et tout votre cerveau, cela crée une pauvreté en relation à l’autre et en attention.

 

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3 astuces pour prévenir le cou texto

Des 7 milliards de personnes dans le monde, plus de 4,7 milliards utilisent un téléphone portable. Le texto est devenu la forme dominante de communication. Plus d’un milliard de SMS sont envoyés chaque mois dans le monde. En moyenne, nous passons 4,5 heures par jour à communiquer et à  »socialiser » sur nos téléphones. Et bien sur, ce boom s’est produit en moins de 10 ans, donc tellement si vite que nous n’avons pas eu le temps de lire la notice. Ah non, la technologie mobile nous a été livré sans notice. Et bien qu’elle nous sert dans tous les aspects de notre vie, elle est source de nombreuses nuisances dont nous allons parler dans cette série. Prêt? Allons-y!

L’un des bobos des accros du texto est le syndrome cou texto.  Les principales manifestations sont une raideur du cou, des maux de tête, des douleurs dans le cou et dans le dos. Le cou texto est le résultat de la posture caractéristique que nous adoptons lorsque nous lisons ou écrivons sur un smartphone. 

Bien sûr, cette posture qui consister à incurver le cou n’apparaît pas seulement quand nous faisons des textos. Nous avons tous eu cette posture pour lire dans un livre ou un cahier. Le problème ici, c‘est que nous tendons à le faire plus souvent plus longtemps. C’est d’autant plus préoccupant chez les adolescents que cette posture pourrait créer des douleurs du cou qui dureront toute la vie. Voici 3 astuces pour prévenir le syndrome cou texto:

  1. Adoptez une bonne posture

Ne baissez pas votre tête, levez votre smartphone
pc: Médicaments sous la loupe via Facebook

La tête moyenne pèse entre 5 et 7 kilos. Mais saviez-vous que le poids est plus que doublé lorsque votre tête est inclinée vers l’avant seulement 15 degrés ? Pis, beaucoup de gens qui font le texte avec leur menton près du cou inclinent la tête vers l’avant de 60 degrés, ce qui augmente la charge à environ 30 kilos. Le cou n’est pas fabriqué pour supporter une telle charge, encore moins pendant tout ce temps.

[bctt tweet= »Saviez-vous que le poids est plus que doublé lorsque votre tête est inclinée vers l’avant seulement 15 degrés ? » username= »arayaasante » prompt= »CLIQUEZ POUR TWITTER »]

Astuce: Gardez la tête et la colonne vertébrale dans des positions neutres avec les oreilles directement au-dessus des épaules tout au long de la journée. Par exemple, maintenez votre téléphone ou votre tablette un peu plus haut, plus près du niveau des yeux pour minimiser la charge sur votre cou. Si vous avez un travail de bureau, souvenez-vous des choses de base telles que l’utilisation d’une chaise qui aide votre dos à rester debout, garder vos pieds à plat au sol et positionner votre moniteur au niveau des yeux pour éviter de regarder vers le haut ou vers le bas trop.

 

2. Améliorez la force et la flexibilité du cou

Astuce: Faire quotidiennement des exercices d’étirement du cou peut aider à traiter le cou texto ainsi qu’à réduire le risque de douleur. Lorsque vos muscles du cou sont forts et flexibles, ils sont mieux en mesure de maintenir une bonne posture.

Lire aussi: Le cou texto ou quand votre téléphone détruit votre cou

3. Prenez des pauses

Astuce: Le mouvement est bon pour la colonne vertébrale, y compris votre cou. Dans la mesure du possible, essayez de faire des pauses fréquentes lorsque vous utilisez les téléphones, les tablettes et les ordinateurs. Si ces outils sont liés à votre travail, envisagez d’avoir un casque afin d’éviter de maintenir le téléphone près de votre tête pendant de longues périodes.

Nous vivons dans un monde de technologie où il faut s’adapter. Il est important de rester connecter, mais il est plus important de rester connecter sainement. Votre corps vous remerciera si vous intégrez ces astuces dans votre routine quotidienne. J’espère que ces astuces vous seront utiles!

 

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Génération tête baissée, cou brisé

Nous recevons de plus en plus en consultation des patients qui se plaignent de mal du cou (cervicalgie). Ces douleurs du cou seraient le résultat de notre mode actuel de vie. La posture que nous adoptons pour écrire ou lire un message (texto) sur notre portable en est la cause. On appelle ce nouveau syndrome le ‘’cou texto’’.

‘’Typiquement, l’incidence des maux de cou augmente avec l’âge. Mais aujourd’hui nous voyons et traitons plus de patients – plus jeunes – qui n’avaient jamais eu des douleur du cou avant’’ déclare le Dr Robert Bolash, spécialiste de la douleur à Cleveland Clinic.

Pencher la tête en avant et vers le bas étire les muscles, les tendons et les ligaments du cou pour pouvoir maintenir la tête. Ces dernières années, les médecins ont vu des signes de dégénérescence prématurée de la colonne vertébrale chez des jeunes alors que ces dégénérescences n’apparaissent normalement qu’à des âges plus avancés.

Des études ont comparé l’envoi de message sur portable couché et assis. Elles concluent que la position la plus grave est celle où on pianote la clavier en étant assis.

Amplification du poids de la tête

Le poids de la tête est un facteur clé. Les muscles du cou sont censés supporter le poids de la tête (5 à 7 kilos) lorsque cette dernière est en position neutre. Mais beaucoup de personnes regardent vers le bas à 60° en faisant des textos, ce qui ramène ce poids à 30 kg. Les recherches montrent que vous doublez la charge sur les muscles du cou à chaque degré que vous courbez le cou vers l’avant. Le cou n’est pas fabriqué pour supporter cette quantité de charge, encore moins sur une période prolongée.

Le Dr Bolash recommande d’adopter une posture correcte avec un cou aligné sur le reste de la colonne vertébrale. Si vous êtes droit, vous devez être capable de dessiner une courbe verticale de votre oreille vers vos épaules. Regardez devant. Plutôt que d’abaisser votre menton pour lire sur votre téléphone ou votre ordinateur, élevez le téléphone vers le niveau de vos yeux.

Lire aussi: 3 astuces pour prévenir le cou texto

Vous devriez limiter le temps passé à texter sur votre téléphone. Composer un manuscrit, sur un écran peu large, ce n’est pas ce pourquoi les téléphones sont fabriqués.

 

Pour ne pas finir, on retient que vous devez désormais :

  • Élever le téléphone vers votre œil : comme ça le cou sera moins courbé,
  • Prendre des pauses fréquentes : passer du temps loin du téléphone,
  • Changer de position : être couché sur le dos est un moyen excellent d’alléger la pression du cou,
  • Etre droit : une bonne posture , avec les épaules vers le derrière, maintient le corps dans une position neutre,
  • Vous étirer : pour soulager la douleur musculaire,
  • Faire des exercices de renforcement des muscles du dos : un dos et un cou forts, flexibles seront plus à même de gérer des contraintes.

 

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10 bonnes habitudes à adopter pour éviter les insomnies

L'électricité, la lumière bleue des écrans de smartphones, les exigences du monde moderne y compris le stress du quotidien perturbent notre sommeil. L'insomnie est devenue un fléau de notre siècle, touchant plus de la moitié de la population. Mais si l'on dort moins que 7 heures et demie, les risques d'hypertension, de maladies cardiaques ou de cancer progressent. Le niveau de stress augmente, il y a une baisse de la concentration et des sautes d'humeur. Les somnifères sont de plus en plus prescrits. Mais ils sont juste la solution facile, pas la réponse au problème. Entre le soleil et le réveil, il y a le sommeil. Voyons en 10 points comment récupérer votre sommeil !

1. Ayez des heures de sommeil régulières

Que ce soit au réveil ou au coucher, vos heures de sommeil et de réveil doivent être les plus constantes possible. Vous habituerez ainsi votre corps à vouloir s’endormir et se lever à ces heures.

2. Fuyez la lumière

L’hormone qui favorise le sommeil (la mélatonine) n’aime pas la lumière. Exposez-vous à la lumière du soleil le jour, et préférez dormir dans le noir. Eviter également la lumière de votre écran juste avant le sommeil.

3. Évitez les somnifères

Même s’ils vous aident à dormir, la qualité de votre sommeil diminue sous leur influence. Vous vous réveillerez fatigué malgré que vous ayez dormi longtemps. Et plus le temps passe, plus vous aurez besoin d’eux pour dormir, et moins ils seront efficaces.

4. Réduisez le temps passé dans votre lit

Il faut que le temps que vous passez dans votre lit corresponde le plus possible à celui de votre sommeil. Pas de prolongation si vous avez fini de dormir ou si vous n’avez pas encore trop sommeil. Comme ça, le cerveau associe votre présence dans le lit au sommeil. Votre lit n’est pas un bureau, encore moins une table à manger. Bannissez-y le travail, la télévision, le téléphone ou toute autre activité stimulante.

5. Ne regardez pas l’heure la nuit

Lorsque vous regardez l’heure en pleine nuit, votre cerveau ne peut s’empêcher de compter le nombre d’heures qu’il vous reste à dormir, ou celles que vous avez déjà passé à dormir. Résultat : cela induit très subtilement un stress, une anxiété du temps qui passe, et ce stress favorise l’insomnie.

6. Réduisez les stimulants

Pas trop de café, de boissons énergisantes, de chocolat, de boissons gazeuses, etc. Il faut les éviter après 16 heures.

7. Votre chambre à coucher doit donner envie de dormir

Elle doit être calme pour que vous ne soyez pas victimes de micro-réveils. Elle doit être sombre. En Afrique sub-saharienne, la température de la chambre doit être légèrement en dessous de la température corporelle (37°C) mais elle variera entre 16°C et 20°C en Europe. La chaleur est une ennemie du sommeil. Trop de fraîcheur aussi. Elle doit être bien ventilée pour que votre cerveau soit aussi bien ventilé pendant le sommeil.

8. L’activité physique

Elle constitue un bon ami du sommeil. Il faut prendre garde de ne pas en faire trop tard cependant.

9. L’alimentation du soir

Votre dîner influe sur la qualité de votre sommeil. Un repas trop lourd perturbe votre sommeil. Le processus de digestion est en concurrence avec celui du sommeil. Un repas trop acide peut générer des remontées induisant des brûlures de l’œsophage.

Il est conseillé d’être modéré et varié. N’oubliez pas l’adage : manger comme un roi le matin, comme un prince le midi, et comme un pauvre le soir !

10. Dormez sur un bon matelas

Le matelas est le support physique du sommeil. Et vous passerez la moitié de votre vie dessus. Investissez dans un matelas de qualité, vous aurez une meilleure qualité de vie. Un bon matelas dure en moyenne 7 ans. Je vous dis ici comment choisir un bon matelas.

 

Vous avez maintenant des astuces pour mieux dormir. Si l’une vous a été utile, si vous avez d’autres difficultés de sommeil, si vous avez des astuces, laissez-les en commentaire. On pourrait ainsi en discuter. N’oubliez pas de le partager avec 3 amis. Ils dormiront surement mieux.